Bonjour ou bonsoir à tous et toutes. Je déplace ici, au lieu de la section des commentaires où elle a vu le jour mais risque de ne pas être lue, une question ouverte, s’étant parfois présentée au cours des derniers mois. Il s’agit de la langue ou des langues utilisées dans le blog Défifoto. Bien qu’évidente la prévalence du français depuis le début ou, du moins, durant les périodes pendant lesquelles j’ai fréquenté (et géré, plus récemment) le Défifoto, quelques fois des commentaires et des propositions de thèmes écrits dans d’autres langues sont apparus. Ne le voyant pas comme un problème, les thèmes ont parfois étés traduits, parfois sont devenus des thèmes bilingues, assemblant l’original et sa traduction, et, ce mois-ci un thème a été maintenu en anglais en prenant soin de traduire le concept qu’il sous-entendait, pour respecter la prévalence de la langue française et pour ne pas mettre en difficulté les participants qui pourraient ne connaître que trop superficiellement cette langue. La traduction des commentaires n’a pas parue nécessaire, étant une communication entre membres, laissant libre à chacun de demander une explication - ou pas - à ce qu’il ou elle en comprenait. Il y a eu des réponses à ces commentaires dans la même langue, d’autres en français, d’autres simplement les recevant sans y répondre, le retenant non nécessaire, comme il advient pour les commentaires en français.
Le mélange des langues, par ailleurs plutôt limité, me semblait et semble être une richesse pour le et une ouverture du Défifoto. Le risque de devenir une Babel où personne ne se comprend plus paraît lointain, surtout pour un blog où la photographie reste le moyen d’expression central, utilisant un langage iconographique, par définition non-verbal, ou qui lie l’expression verbale aux images pensées, crées et trouvées par les participants, travaillant ainsi sur plusieurs plans. Le choix de ne pas être trop fiscal sur la langue d’usage, tout en gardant le français pour les communications plus officielles - directement ou indirectement en mettant la traduction des termes ou phrases en d’autres langues - est apparue la meilleure direction. Observant aussi les réactions à cette ouverture linguistique, dans l’ensemble elles ont étés plutôt bonnes. Bien que liée seulement en partie à la question en question (!) et sans avoir fait d’enquête systématique sur les participants, leurs origines, lieux de vie ou voyages, de travail ou de vacance, on entrevoit régulièrement la France, la Suisse, le Québec et/ou le Canada, mais aussi la Grèce, l’Allemagne, l’Italie, sans compter les sauts au Japon et dans les autres nations que nous avons vues photographiées mais que je n'ai pas reconnu ou que j’oublie en ce moment. Cette nationalité multiple - au moins dans les images publiées - donne l’idée d’un goût pour le monde, d’une certaine oreille pour ses langues. Est-il si grave si ces dernières s’insinuent un peu dans le Défifoto?
Un dernier argument s’impose aussi dans cette discussion. Le blog ayant risqué l’extinction récemment, par fatigue, par le risque très concret de manquer de conducteur et par la réduction graduelle du nombre de participants, il me semble plus important, in primis pour la survie du Défifoto et sa vivification, de voir de bonne augure l’ajout de nouveaux membres. N’est-il pas préférable un certain degré d’élasticité, qu’elle soit linguistique ou, par exemple, dans la gestion des thèmes multiples de certains mois où les votes se dispersent, à la clôture du blog?
Ceci dit, les propos précédents sont l’explication de la “ligne éditoriale” des derniers mois et représentent le point de vue de la "salle de machines" actuelle, qui écrit en ce moment. Qu’en pensez-vous? Comment voyez-vous le futur (mais aussi le présent et le passé) du Défifoto?
C'est marrant qu'on se chiffonne sur la langue...
RépondreSupprimerLa photo est une langue universelle, non ?
Pour ma part, tant que ce n'est pas du chinois, je m'en fiche un peu.
Mais c'est vrai que, par politesse, ceux qui postent sur un site en français pourraient faire l'effort d'actionner 'Google traduction' et nous donner le résultat...en deux langues.
C'est dommage que ça soit à nous (ou à l'organisateur) de le faire.
Perso l'utilisation d'une langue étrangère ne me dérange pas, mais je pense qu'il faut accompagner la proposition de la bonne traduction. Perso j'aurais traduit rule of thirds par règle de 3!...
RépondreSupprimerBonsoir. Je rejoins l'avis de Licorne. Une traduction serait à ce moment-là la bienvenue pour faciliter la compréhension du plus grand nombre. N'hésitons p
RépondreSupprimerDérapage sur mon clavier !!! N'hésitons pas non plus à parler de Défifoto pour ouvrir le blog...
RépondreSupprimerPourquoi pas le chinois, l'arabe, le russe, le grec antique?
RépondreSupprimerCe qui est bon pour l'un, est bon pour tous les autres.
La politesse et le savoir vivre demande de s'adresser à un groupe dans la langue du groupe.
Je suis pour la liberté, même si la question ne s'était jamais posée auparavant... Nous avons tous des outils informatiques gratuits et suffisamment performants pour traduire un texte que nous ne comprendrions pas. Ouverture, grand angle... ça devrait nous parler, il me semble.
RépondreSupprimerJe vois que mon intervention a été mal comprise.
RépondreSupprimerDommage.
Mon français n'est pas assez bon pour faire quoi que ce soit, même vaguement intelligent, comme commentaire dans cette langue. J'apprécierais beaucoup si je pouvais commenter en allemand et laisser à Google Translate le soin de produire un bonne response passable.
RépondreSupprimerE brezhoneg e c'heller?
RépondreSupprimerEn Breton, on peut ?