Un escalier, c’est un chemin de vie, que l’on monte et descend au rythme des marches des âges et des moments présents avec arrêt sur image, paliers de nos joies et de nos peines.
Nos escaliers d’enfant escaladés à « quatre pattes », des escalators des centres commerciaux, et ceux que l’on peine à monter quand l’âge ralentit nos envies ; les escaliers à tapis rouge des célébrités et ceux d’une bouche de métro où le sans papiers quémande quelques subsides…
L’escalier en colimaçon, celui des phares aux centaines de marches, l’escalier en échelle pour retrouver au grenier la nostalgie de l’enfance; l’escalier que l’on descend, cave et tourments de l’ivresse que l’on cache. Escaliers des musées collectionnés ces dernières années, art à consommé sans modération. L’escalier et ses ombres, celui du parquet et des vielles pierres, l’escalier de verre baigné de lumière. Escalier, à rire ou à pleurer ! Escaliers à photographier.
Les escaliers, c’est un peu comme les fenêtres…Eternel exercice, clichés mille fois pris et pourtant différents. Un mot et des photos qui nous racontent des histoires. Celle-ci se passe en haut de l'escalier "d'en bas" de chez moi. Un matin de février de l'année 2011.
Nos escaliers d’enfant escaladés à « quatre pattes », des escalators des centres commerciaux, et ceux que l’on peine à monter quand l’âge ralentit nos envies ; les escaliers à tapis rouge des célébrités et ceux d’une bouche de métro où le sans papiers quémande quelques subsides…
L’escalier en colimaçon, celui des phares aux centaines de marches, l’escalier en échelle pour retrouver au grenier la nostalgie de l’enfance; l’escalier que l’on descend, cave et tourments de l’ivresse que l’on cache. Escaliers des musées collectionnés ces dernières années, art à consommé sans modération. L’escalier et ses ombres, celui du parquet et des vielles pierres, l’escalier de verre baigné de lumière. Escalier, à rire ou à pleurer ! Escaliers à photographier.
Les escaliers, c’est un peu comme les fenêtres…Eternel exercice, clichés mille fois pris et pourtant différents. Un mot et des photos qui nous racontent des histoires. Celle-ci se passe en haut de l'escalier "d'en bas" de chez moi. Un matin de février de l'année 2011.
Pas engageant....je le trouve raide de la marche ! c'est une idée que je me fais ?
RépondreSupprimerTrès réussie cette image, en tout cas !
Ton commentaire est plus chaleureux que le cliché!
RépondreSupprimerPlongeant dans les profondeurs de l'âme ! Bravo pour le graphisme !
RépondreSupprimerUne vue !
RépondreSupprimerDes interprétations différentes selon son vécu !
Comme quoi, tout est relatif ! :-)
[j'y vois une ressemblance avec la photo de "mes escaliers" ]
J'ai pensé en premier aux escaliers des cinémas. Me suis encore fait un film quoi...
RépondreSupprimerBelle perspective.
RépondreSupprimersuis impressionnée par la perspective
RépondreSupprimeret l'absence de palier qui ne doit pas faciliter la grimpette;-)
Je suis étouffé entre les murs de cet escalier qui mène vers l'inconnu...
RépondreSupprimerLes escaliers souvent nommés, ici, il y a les cent marches, ceux du temps perdus, etc. … En toute honnêté, je n'aime guère les escaliers : ça casse les jambes !
RépondreSupprimerPour celles et ceux qui ont trouvé un peu austère cet escalier, je publie sur mon blogue l'autre cliché pris spécialement pour ce défifoto de février. Les deux clichés ayant été pris "en bas de chez moi". Paradoxe d'un cliché ai-je déjà écrit ici...
RépondreSupprimerMerci et belle journée.
Oups!Ce n'est pas "Anonyme", oublié de mettre mon prénom ci-dessus.
RépondreSupprimerChaque escalier a son histoire, finalement... :-)
RépondreSupprimerfascinant !
RépondreSupprimerle métro de Cagnes...
RépondreSupprimer;-D