Ma liberté Longtemps je t'ai gardée Comme une perle rare Ma liberté C'est toi qui m'as aidé A larguer les amarres Pour aller n'importe où Pour aller jusqu'au bout Des chemins de fortune Pour cueillir en rêvant Une rose des vents Sur un rayon de lune
Ma liberté Devant tes volontés Mon âme était soumise Ma liberté Je t'avais tout donné Ma dernière chemise Et combien j'ai souffert Pour pouvoir satisfaire Tes moindres exigences J'ai changé de pays J'ai perdu mes amis Pour gagner ta confiance
Ma liberté Tu as su désarmer Toutes mes habitudes Ma liberté Toi qui m'as fait aimer Même la solitude Toi qui m'as fait sourire Quand je voyais finir Une belle aventure Toi qui m'as protégé Quand j'allais me cacher Pour soigner mes blessures
Ma liberté Pourtant je t'ai quittée Une nuit de décembre J'ai déserté Les chemins écartés Que nous suivions ensemble Lorsque sans me méfier Les pieds et poings liés Je me suis laissé faire Et je t'ai trahie pour Une prison d'amour Et sa belle geôlière
Et je t'ai trahie pour Une prison d'amour Et sa belle geôlière
On ne l'écrira jamais assez.
RépondreSupprimerC'est vrai, il faut proclamer la Liberté et s'accaparer les mur est une façon de la revendiquer.
RépondreSupprimerRoger
Voilà comment utiliser un mur de manière efficace !
RépondreSupprimerFantastique ! C'est magnifique qu'il y ait un mur comme ça quelque part !
RépondreSupprimerInspirant.
RépondreSupprimerC'est beau !
RépondreSupprimerUn désir, une prière... Oui, c'est beau
RépondreSupprimerMa liberté
RépondreSupprimerLongtemps je t'ai gardée
Comme une perle rare
Ma liberté
C'est toi qui m'as aidé
A larguer les amarres
Pour aller n'importe où
Pour aller jusqu'au bout
Des chemins de fortune
Pour cueillir en rêvant
Une rose des vents
Sur un rayon de lune
Ma liberté
Devant tes volontés
Mon âme était soumise
Ma liberté
Je t'avais tout donné
Ma dernière chemise
Et combien j'ai souffert
Pour pouvoir satisfaire
Tes moindres exigences
J'ai changé de pays
J'ai perdu mes amis
Pour gagner ta confiance
Ma liberté
Tu as su désarmer
Toutes mes habitudes
Ma liberté
Toi qui m'as fait aimer
Même la solitude
Toi qui m'as fait sourire
Quand je voyais finir
Une belle aventure
Toi qui m'as protégé
Quand j'allais me cacher
Pour soigner mes blessures
Ma liberté
Pourtant je t'ai quittée
Une nuit de décembre
J'ai déserté
Les chemins écartés
Que nous suivions ensemble
Lorsque sans me méfier
Les pieds et poings liés
Je me suis laissé faire
Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière
Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière
Georges Moustaki
J'y vois comme un hommage à Paul Eluard et son poème Liberté. Il est beau, ce mur. J'aime beaucoup.
RépondreSupprimerOuais, mais il ne suffit pas de l'écrire, hélas.
RépondreSupprimer