Le ciel bâille d'absence noire
et voici passer
vagabondage sans nom
vers les sûres nécropoles du couchant
les soleils, les pluies, les galaxies
fondus en fraternel magma
et la terre, oubliée la morgue des orages,
qui dans son roulis ourle des déchirures
perdue, patiente, debout
durcifiant sauvagement l'invisible falun,
s'éteignit
Aimé Césaire
Belles couleurs, pour passer de l'ombre à la clarté éblouissante !
RépondreSupprimerOmbre et lumière, c'est très beau
RépondreSupprimerSuperbe : une fois encore image et texte vibrent à l'unisson....;-)
RépondreSupprimerCésaire
RépondreSupprimerest un très beau cadeau aussi !
Merci !
Loop
Sérénité de la photo et fracas du texte.
RépondreSupprimerPhoto et poème saisissants!
RépondreSupprimerSuperbe.....
RépondreSupprimerPierre
Merci Gine :D
RépondreSupprimerMerci Anne-Ma!!!
RépondreSupprimerMerci Rénica,
RépondreSupprimerj'aime beaucoup ton nouvel avatar aux yeux M-rôde
:D
Merci Penéloop,
RépondreSupprimerun poète qui peint avec des mots, ça vaut son pesant de photo...oui!
Merci la bacchante pour la beauté lapidaire de la formule!
RépondreSupprimerMerci Manouche!
RépondreSupprimer... déssaisie à présent?!
Merci Pierre,
RépondreSupprimerle mot que vous m'offrez est un de mes préférés,
il n'a pas à rougir d'être seul!
;D
Un photo bien à propos pour illustrer ce poème.
RépondreSupprimerMerci beaucoup Amartia
RépondreSupprimerWow ! grandiose ma belle, comme à ton habitude.....:)
RépondreSupprimerMerci ma douce que je ne lis plus!
RépondreSupprimer;((